Le ministre Van Quickenborne écrivait dans une carte blanche dans De Morgen que la grève « nous coûte un paquet d’argent, chasse les investisseurs et, finalement, amène à moins de moyens pour notre système social ». Envisage-t-il l’alternative que les banques, les spéculateurs et les super-riches paient ? Bien sûr que non. Cette arrogance, tant des patrons que des politiciens, appelle une réaction. «On ne nous entend pas ? Alors, faisons plus de bruit!», lance la Centrale générale de la FGTB. « ArcelorMittal paie 464 euros d’impôt. Et vous ?», interpelle la centrale des employés de la CSC. Nous avons pris la température auprès de quelques secrétaires syndicaux de divers secteurs.
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